Savoir comment tricoter le point endroit, c’est la base. Ce seul point vous permet déjà de réaliser de nombreux projets, mais vous verrez qu’en l’associant au point envers, c’est un univers de créativité qui s’offre à vous !
Ce point permet notamment de tricoter en point mousse (point endroit sur tous les rangs, sans exception) et en point jersey (alternance de rangs en point endroit et de rangs en point envers).
Ces points sont particulièrement utilisés pour des projets débutants, mais aussi pour des créations nécessitant l’association de plusieurs couleurs.
Voici une vidéo explicative pour réaliser ce point. Il vous faudra avoir, au préalable, monté vos mailles. Une fois cela fait, vous pourrez commencer à tricoter votre point.
Pour le réaliser, il s’agit :
de glisser votre aiguille droite dans la première maille de l’aiguille gauche, sous l’aiguille, et de gauche à droite.
d’enrouler votre fil autour de l’aiguille gauche, dans le sens des aiguilles d’une montre (il passe sous l’aiguille vers la gauche, puis reviens sur votre droite par dessus la même aiguille).
Enfin, vous glissez délicatement l’aiguille gauche sous l’aiguille droite pour que la nouvelle maille se forme sur l’aiguille droite.
N’hésitez pas à regarder plusieurs fois cette vidéo si nécessaire, car ce point est un incontournable !
Je dois vous révéler quelque chose d’un peu gênant : j’ai une passion pour les savons. Partout où je vais, j’achète des savons. Par exemple, l’été dernier, je suis revenue de 2 semaines en Gaspésie avec non moins de 5 ou 6 savons…
Ça sent bon, c’est coloré, ça fait un souvenir utile… même si je ne suis plus tout à fait rationnelle quand j’aperçois ou que je sens l’odeur d’un commerce de savons, soyons sincères, c’est quand-même un souvenir plutôt sympathique…
Bref. Revenons à nos moutons ! Quoi de mieux qu’un dimanche après-midi tranquille pour enfin déballer ce kit qui attend patiemment depuis presque 6 mois son heure ?
Contenu du kit savons DIY
Le kit contient 3 savons en bloc, 3 moules et une notice. Il nécessite que vous ayez chez vous de quoi réaliser un bain-marie ou un micro-ondes, ainsi qu’une petite spatule. J’ai reçu le kit avec des savons dans les tons roses, mais il existe à ma connaissance 1 ou 2 autres coloris.
Il s’agit en fait d’un kit de « moulage » de savons, plutôt adapté pour les grands débutants en DIY : il ne nécessite aucune connaissance technique préalable. Néanmoins, c’est très clairement un kit pour adultes : nous allons voir plus loin que les manipulations peuvent être un peu dangereuses pour les enfants.
Les étapes de fabrication des savons
Les étapes de ce kit sont assez simples sur le papier :
Faire fondre au bain-marie ou au micro-ondes le 1er savon détaillé en copeaux
Une fois complétement fondu, verser dans l’un des 3 moules
Recommencer avec les 2 autres savons
Bon, à ce stade, soyons honnêtes… Ce n’est pas vraiment du DIY…
Mais ne vous y méprenez pas ! Cela prend tout de même du temps… Au total, il faut compter environ 1H30 pour réaliser les 3 savons.
Personnellement, j’ai aussi ajouté des huiles essentielles, puisque c’était pour un usage personnel (attention : c’est déconseillé pour les femmes enceintes, les enfants, et à contrôler si vous avez des problèmes de santé).
Voilà le résultat :
Mon avis sur ce kit
Les points positifs :
les savons sont faciles à réaliser.
il y a 3 coloris, sur un dégradé de couleurs très agréables à l’œil
l’activité en soi et sympathique et apaisante. Personnellement, j’ai passé un bon moment à « mouler » ces savons, qui viennent s’ajouter à ma collection 😀
on est content d’utiliser « ses » savons une fois qu’ils sont prêts à l’usage 🙂
plusieurs coloris disponibles : dans les tons verts, dans les tons orange.
Les points négatifs:
ce n’est pas vraiment un kit de DIY. En même temps, réaliser des savons, ça ne s’invente pas : c’est complexe et ça nécessite plus de matériel et d’ingrédients…
cela aurait été sympathique d’accompagner ces savons d’extraits de parfums, que l’utilisateur aurait pu ajouter ou non, à loisir. Ici, les savons sont inodores et rien n’est particulièrement proposé pour les parfumer.
la composition de ces savons me semble être un grand mystère… il y a 15 ingrédients ! L’un des intérêts du DIY étant notamment de réaliser des alternatives plus saines que ce que l’on trouve dans le commerce, c’est dommage…
Pour conclure, je trouve que c’est une bonne idée cadeau, une activité très agréable. Mais, si vous avez un niveau un peu avancé en réalisation de savons, passez votre tour, ce kit ne vous intéressera pas.
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Mon compagnon et moi-même vivons dans un beau (en toute objectivité bien sûr !) T3 en Ile-de-France.
Nous sommes tous les deux passés, il y a 2 ans, de nos studios respectifs à cet espace un peu plus grand, et avec le privilège d’avoir… 3 rebords de fenêtres de 25x150cm !
Eh non, nous n’avons pas de balcon, de terrasse ou un quelconque extérieur. Mais j’ai décidé que cela n’allait pas entamer ma motivation à apprendre la culture de fruits et légumes. Et vous non plus n’avez aucune raison de désespérer : finalement, un petit espace est une bonne façon de débuter !
Que faire pousser à l’intérieur d’un appartement ?
Tout dépend de l’exposition dont vous bénéficiez…
Chez nous, nous avons une exposition Sud-Est . C’est une exposition assez clémente, car nous avons du soleil une bonne partie de la journée . J’en ai donc profité pour faire pousser :
tous mes semis ! Derrière la fenêtre et dans une mini-serre, ce sont les tropiques , et c’est idéal pour faire germer toutes mes petites graines !
des tomates-cerises
des citronniers
Les semis de tomates-cerises sous serre
L’un des citronniers et sa tranche de pomme 😛
Nous avons également l’un de ces mini-potagers avec lampe intégrée qui nous permet de cultiver du basilic et du persil (jusqu’à la prochaine session de culture !). Ceux-ci peuvent s’utiliser peu importe la luminosité de la pièce, ce qui est intéressant pour les intérieurs sombres . Nous avons justement placé les citronniers , dont la culture peut être exigeante dans notre climat frais , juste à côté ! Devinez quoi ? Après des mois de « dormance », ils ont repris leur croissance !
Enfin, dans notre cuisine, nous avons expérimenté le regrow (avec le poireau pour débuter ) , dans un simple bol d’eau ( et à la lumière d’une fenêtre expo Nord-Ouest = jamais de soleil direct ) . Cette technique peut être utilisée pour plusieurs aliments .
Sans vouloir faire de publicité , le livre que vous voyez en photo est une ressource très intéressante pour vous y essayer .
En bref
En appartement, il faut simplement prendre en compte deux facteurs : le besoin en pollinisation d’une plante , et la luminosité . Avec un arrosage suffisant et un respect de ces deux éléments , vous pourrez faire pousser une large gamme de plantes comestibles .
Les besoins de la plante sont souvent indiqués sur le sachet de graines ou sur l’étiquette accompagnant les plans prêts à rempoter . Vous pouvez généralement vous y fier . A l’inverse , s’il est mentionné des besoins que vous ne pourrez lui fournir , un conseil : n’essayez même pas ! Cela vous démotivera dans les 99% des cas où votre plante ne « prendra » pas , et dans le 1% restant où elle poussera , mais ne donnera aucun fruit ou légume …
Que faire pousser sur un rebord de fenêtre ?
En extérieur cela devient vite plus délicat (surtout quand vous avez la riche idée, comme moi , de vous mettre au « jardinage » à l’entrée de l’hiver…). Mais nous avons eu le plaisir de voir pousser :
du poireau (mis en terre après avoir suffisamment poussé dans le bol d’eau de la cuisine)
de la mâche
En bref
En extérieur , il faudra tenir compte de l’exposition au soleil et au vent , mais aussi de l’espace dont vous disposez . Si , comme nous , vous avez peu d’espace au sol , vous pouvez opter pour des plantes peu expansives , ou qui poussent en hauteur …
Attention au soleil ! Il n’est pas toujours un ami de vos plantes : en réalité, peu d’entre elles résistent à une exposition directe et prolongée … et cela vaut même si elles ne sont pas derrière une fenêtre . C’est pourquoi , même si vous n’avez pas une exposition exceptionnelle , ne vous démotivez pas ! Il y a certainement des plantes qui se satisferont de cet environnement . Là encore, lisez les étiquettes : c’est le meilleur moyen de faire de bons choix .
Le matériel nécessaire pour cultiver en appartement
La culture « urbaine » demande d’avoir un peu d’espace de rangement . En effet , il y a quelques indispensables à stocker entre vos sessions de jardinage ( et croyez-moi , cela prend beaucoup plus de place que les plantes en elles-mêmes !) .
Pour les semis :
des godets ou pots de yaourt (= pour séparer vos germes à un stade donné de croissance)
du terreau spécial pour semis (= pour apporter les nutriments optimisant la pousse)
un système de mini-serre (= pour améliorer les chances de germination de vos graines et maintenir au chaud les pousses les plus sensibles)
un vaporisateur (= pour humidifier la terre sans la noyer, lors de la germination)
Pour vos cultures plus matures :
des pots de taille adaptée et soucoupes
de la terre / du terreau en grande quantité ! Pour vous donner un ordre d’idée, une jardinière basique contient aisément 10L de terre …
un arrosoir (= pour arroser vos plantes « au pied » – certaines ne supportant que mal d’être mouillées au niveau des feuilles)
de l’engrais (prêt à emploi ou « maison » – type bokashi) (=car votre terre s’épuisera et que la plante continuera d’avoir besoin de nutriments)
une petite pelle
des ciseaux de jardin / un sécateur (= pour récolter proprement vos fruits / légumes et dans certains cas stimuler la pousse / repousse)
Vous pouvez aussi enrichir votre panoplie au fil du temps avec gants et autres accessoires , mais vous avez là les outils de base .
Les limites de la culture en appartement
l’espace
la rotation des cultures
l’hygiène / les parasites
Les deux premiers sont évidents : vous ne pourrez pas faire pousser tout et n’importe quoi en appartement . Pour peu que vous vouliez cultiver à l’année, il faudra libérer vos bacs et pots pour la prochaine tournée … et cela ne prend pas encore en compte le repos parfois nécessaire de votre terre … Cela nécessite une organisation réfléchie et raisonnée , qui peut se matérialiser par une planification de vos semis , vos plantations et vos récoltes par bac / pot / jardinière de culture (un bon vieux tableur ou une feuille de papier feront l’affaire ) .
Sur l’hygiène et les parasites , la culture d’intérieur oblige davantage encore que la culture en extérieur à surveiller vos plantes . A l’intérieur, bien au chaud et nourris, les parasites peuvent vite prospérer dans vos cultures et potentiellement s’étendre … Attention , donc , à éviter de cultiver vos plantes proche de votre espace de cuisine , de les disposer sur votre table de repas …
Par exemple , dans nos pousses de citronnier, nous avons ce qui est vraisemblablement des cochenilles . Nous les traitons régulièrement à coup de vinaigre ( pas dans la terre bien sûr, mais dans la coupelle ) et de morceaux très alléchants de pomme ( l’idée étant qu’ils se jettent sur le morceau de pomme que l’on peut ensuite jeter ) . Si vous ne faites rien, ces bestioles peuvent tuer une plante en pleine croissance .
Malgré ces contraintes , cultiver quelque chose que vous pouvez ensuite mettre dans votre assiette a quelque chose d’extrêmement satisfaisant . C’est aussi une manière belle et productive d’apporter de la verdure en milieu urbain ! 🙂
Vous faites déjà pousser quelques pieds chez vous ? Partagez vos bonnes idées en commentaire !
Je n’ai jamais eu l’âme d’une photographe compulsive. Débuter la photo n’a été pour moi que très récent. Contrairement à beaucoup de gens, je n’ai pas le réflexe de prendre des photos à tout va, de ce que je mange, de ma nouvelle coupe de cheveux, de ce que j’observe dans mon environnement… Même en vacances, je rentre souvent avec bien moins de photos que mon compagnon. Et la plupart sont tellement mauvaises qu’après le tri, il ne m’en reste bien souvent qu’une vingtaine (dans le meilleur des cas !).
Cela faisait même des années que je n’avais pas eu d’appareil photo, et cela ne me manquait pas !
Avant de m’intéresser à la photo…
Voici un exemple typique de mes photos de vacances…
On le voit : j’ai pris cette photo de travers, sans aucun cadrage et ce qui est pris en photo n’est pas vraiment mis en valeur… Tout est à revoir !
Mais, il y a trois ou quatre ans, j’ai offert à mon compagnon un bel appareil photo d’occasion, car il souhaitait se mettre à la photographie. Il n’a finalement jamais pris le temps d’apprendre à l’utiliser ou même de l’allumer ! Alors, il y a peu, il m’a offert de l’utiliser moi-même.
Depuis quelques temps, je ressentais l’envie d’immortaliser certains paysages lors de nos promenades et randonnées. Le smartphone était une option bien trop démotivante (très peu de possibilités de réglage). Partir à la « conquête » de photos m’a permis aussi être beaucoup plus concentrée sur l’environnement, de me changer les idées. Tout ce qu’il me fallait ! J’ai donc accepté ce cadeau avec plaisir avec comme objectif de débuter la photo 🙂
Apprendre à régler la prise de vue, à bien cadrer la photo et à capturer l’instant, tout cela en même temps, ce n’est pas une mince affaire ! Mais, après quelques leçons « express » et quelques jours à intégrer les différents réglages, me voilà partie !
Voici quelques unes des photos, que je trouve réussies ou perfectibles… J’attends les avis et conseils des lecteurs photographes avec impatience !
Quelques photos à améliorer…
La plupart de ces photos sont malheureusement floues, quand on zoom un peu … D’autres manquent un peu de « contexte », et l’arrière plan n’est pas fameux…
J’ai aussi ici un exemple d’une autre belle erreur que j’ai faite avec mon appareil : ne pas le nettoyer…
Quelques photos « réussies »…
J’aime ces photos, car je les trouve mieux cadrées que les autres , et elles « racontent » quelque chose. Peut-être est-ce cela le plus important ?
J’ai hâte d’apprendre à faire de meilleures photos et que nous puissions partager des conseils pour les rendre toujours plus belles ! J’aime bien l’article de Benjamin Beaumont qui démystifie un peu les débuts en photographie, en donnant des conseils assez instructifs.
Mes photographies sont soumises à droit d’auteur. Si vous souhaitez les utiliser, merci de m’en faire la demande au préalable =)
Le tricot a son univers lexical propre… et la toute première expression à laquelle vous serez confronté.e sera : « montez des mailles ».
Un peu obscure, n’est-ce pas? Mais ne partez pas tout de suite ! Ce n’est pas le moment de vous décourager !
En fait, « monter des mailles », cela signifie tricoter le premier rang de votre projet. C’est une technique un peu spécifique, dans le sens où l’on ne monte pas des mailles comme l’on tricote une fois le projet lancé…
Et, vous l’aurez deviné, c’est à maîtriser absolument, puisqu’elle est à la base de tout projet. Si vous ne savez pas monter des mailles, il sera tout simplement impossible de débuter le moindre travail, que ce soit au point endroit, au point élastique, au point mousse…
Les différentes techniques de montage des mailles
En réalité, je parle d' »une » technique, mais il en existe plusieurs, de différents niveaux de difficulté. Voici les 3 principales, celles que vous rencontrerez le plus souvent :
la méthode « Knitted Cast On« , ou montage à la française;
la méthode « Cable Cast On« , ou montage à l’anglaise;
la méthode « Long Tail Cast On« , ou montage à la continentale.
Ces méthodes ont des propriétés différentes, c’est pourquoi, selon le modèle, il vous sera demandé de monter vos mailles avec telle ou telle technique. Cela peut-être une question d’élasticité ou d’esthétique, par exemple.
D’autres techniques existent, plus complexes, selon les besoins du projet.
La méthode la plus simple pour monter vos mailles
Voici une vidéo de démonstration de la méthode la plus simple pour monter vos premières mailles. C’est la « Cable Cast On« , ou montage à l’anglaise :
Monter vos premières mailles
Entraînez-vous, recommencez autant que nécessaire, mais je vous assure que vous y arriverez !
Une fois que vous aurez suivi cette vidéo et que vous aurez réussi le montage, vous n’aurez plus aucun mal à démarrer un projet !
Le point élastique est un incontournable en tricot : il permet de monter des cols, de tricoter le bas des pulls et les extrémités des manches.
Il doit son nom à sa qualité : il rend le tricot « élastique » en s’étirant légèrement lorsqu’on tire dessus, tout en reprenant son aspect initial dès que l’on arrête d’exercer une tension.
Si c’est un point « basique » et très accessible aux débutant.e.s , j’ai personnellement subit quelques déconvenues avec ce point … Alors, dans cet article , je souhaitais vous présenter le point élastique en 2 points :
Comment il se tricote
Comment le réussir
Comment tricoter le point élastique
Pour tricoter votre point élastique , vous devez au préalable connaître 2 points : le point endroit , et le point envers.
Si l’on peut résumer ce point élastique , il consiste en une alternance de points endroits et de points envers , sur plusieurs rangs , avec un respect du sens des mailles à chaque rang (la maille se présentant à l’endroit sera tricotée à l’endroit , et la maille se présentant à l’envers se tricotera à l’envers).
Schéma point élastique 2×2
Mais, puisqu’une image vaut mille mots, voyons ça de plus près en vidéo …
Réaliser un point élastique 1×1
Dans cette vidéo , je vous montre comment réaliser un point élastique « 1×1 » (1 maille endroit / 1 maille envers). Il est aussi possible de réaliser un point élastique « 2×2 » : il correspond à 2 mailles endroit / 2 mailles envers/…) , le principe restant le même.
Réussir son point élastique : une astuce qui change tout
Les premières fois que j’ai tricoté ce point , je ne comprenais pas vraiment ce que je faisais. Du coup , je tricotais mon point élastique de la même manière que les autres points , avec une tension qui n’était pas du tout adaptée. Le résultat ?
Un point élastique complétement lâche (donc pas du tout élastique!) , peu esthétique et sans intérêt. Voilà ce que ça donnait …
Sur ce pull, autant sur la manche que sur le bas du pull, on voit qu’il n’y a aucune différence de tension entre le point élastique et le point jersey. On voit nettement le point envers, qui devrait peu (voire pas) apparaître
Un élastique réussi?
Ce n’est qu’une fois que j’ai commencé à comprendre le tricot et le but de chaque geste et chaque maille tricotée que j’ai enfin réussi mon point élastique. N’ayez pas honte de vous si vous n’y arrivez pas au début : personnellement, cela m’a pris un bon bout de temps (quelque chose comme 4 ou 5 projets ratés …) , vous pourrez difficilement faire plus lent.e que moi à la détente :D.
Le grand secret , c’est tout simplement de tricoter ce point avec des aiguilles d’une taille en dessous ! En changeant de taille d’aiguilles, cela vous permettra d’avoir une plus forte tension lorsque vous tricotez votre élastique que sur le reste de votre projet. Si vous n’avez pas d’autres aiguilles, tricotez en maintenant une tension plus forte que sur le reste du tricot. Ayez tout de même la main légère au début , mais entraînez vous sur un échantillon et cela viendra très vite.
Ici , les mailles du point élastique sont réussies: on observe bien que le bas du projet est plus resserré que le reste. Sur le point élastique , on voit surtout les mailles endroit , et les mailles envers se retrouvent bien en arrière plan , « sous » les mailles endroit
N’hésitez pas à faire part de vos commentaires ou à partager vos plus beaux points élastiques et vos astuces en commentaire!